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Primera proyección del Club de Cine Externadista

Fecha: 30 de enero de 2020

Hora: 2:00 pm - 5:00 pm

Lugar: Salón 2, Biblioteca

El Instituto de Estudios Interdisciplinarios y la Biblioteca invitan a la comunidad externadista a disfrutar de la película: “El hombre con la cámara”.

Este semestre, el Club de Cine Externadista presenta el ciclo “Narrativas cotidianas” historias humanas que transcurren entre la complejidad y el dinamismo lineal o discontinuo del día a día. Experiencias de jóvenes, adultos, citadinos, provincianos, familias y comunidades que forman sistemas de vida con sus propios códigos afectivos o limitaciones morales.

En la primera proyección de este año se proyectará el largometraje “El hombre con la cámara” del año 1929 dirigida por Dziga Vertov. El lente de Vertov capta una narrativa visual que evoca las rutinas en San Petersburgo: un despertar normal de la ciudad, el movimiento de las calles y de las personas en su cotidianidad, el clima, el ambiente. Según la British Film Institute, es la octava mejor película en la historia.

Première session du Club de cinéma de l’Externado

Fecha: 30 de enero de 2020

Hora: 2:00 pm - 5:00 pm

Lugar: Salón 2, Biblioteca

L’Institut d’études interdisciplinaires et la Bibliothèque invitent la communauté de l’Externado à la présentation du film « L'Homme à la caméra ».

Pendant ce semestre, le Club de cinéma de lÂ’Externado présente le cycle « Narratives quotidiennes », des histoires humaines qui se déroulent entre la complexité et le dynamisme linéaire ou discontinu du quotidien.

Des expériences des jeunes, des adultes, des habitants de grandes villes et de province, des familles et des communautés, qui créent des systèmes de vie avec leurs propres codes affectifs ou limitations morales.

Pour la première session de l’année le film présenté sera le long-métrage « L’Homme à la caméra », réalisé par Dziga Vertov en 1929. L’objectif de Vertov capte une narrative visuelle qui évoque les rutines à Saint-Pétersbourg : un réveil normal de la ville, le mouvement des rues et des personnes dans leur quotidien, le climat, l’environnement. D’après le British Film Institute, il s’agit du huitième meilleur film de l’histoire.