La protección de datos desde la reglamentación europea

En la sociedad digital, los datos -cuya protección se debe garantizar como derecho fundamental- son, además, un nuevo factor de producción o una nueva ‘moneda de cambio’, sostuvo experto español Pablo Sanz Bayón, quien disertó sobre el rol del Derecho frente al uso y protección del open data y de los datos personales.

El Departamento de Derecho Financiero y Bursátil y su Centro de Investigación adjunto, el Observatorio de Derecho Financiero y del Mercado de Valores, realizaron el centro de estudios “La protección de datos para los usuarios de Internet: una mirada desde la reciente directiva europea”.

El evento contó con la participación del doctor Pablo Sanz Bayón, Doctor en Derecho y docente de la Universidad Pontificia Comillas (Madrid-España), quien hizo una aproximación a lo que se conoce como la economía y el mercado digitales, en cuyo ámbito los datos y la información representa el principal factor de producción.

Teniendo en cuenta la nueva realidad digital, el expositor habló del rol del Derecho frente al concepto de open data y de los datos personales, pues se enfrenta al desafío de garantizar a los consumidores y usuarios la misma protección jurídica que en un mercado físico.

Para ello, se refirió a la Nueva Ley de Protección de Datos, el Reglamento General de Protección de Datos (RGPD), de obligatorio cumplimiento desde mayo del presente año en la Unión Europea, que contempla normas más estrictas en materia de protección de datos, garantizan a las personas más control sobre su información personal, y conducen a las empresas a beneficiarse en igualdad de condiciones.

“El RGDP es un hito jurídico en la historia de la Unión Europea. Ante las expectativas de un mercado único digital, los datos, en especial los personales, adquieren una doble relevancia  no solo como derecho fundamental, sino  como un nuevo factor de producción o ‘nuevas monedas  de cambio’ de la economía digital”, añadió el doctor Sanz.

El centro de estudios también contó con la participación de Marco Peres, experto externadistas en el tema, quien se refirió al tema del uso y operación de los servicios ciudadanos digitales en Colombia, con base en el Decreto 1413 de 2017, expedido por el Gobierno Nacional.

La protection des données à partir de la réglementation européenne

Dans la société numérique, les données – dont sa protection doit être garantie comme un droit fondamental- sont également, un nouveau facteur de production ou une nouvelle « monnaie d’échange », a affirmé l’expert espagnol Pablo Sanz Bayon, qui a analysé le rôle du Droit par rapport à l’utilisation et à la protection de l’open data et des données personnelles.

Le Département de Droit Financier et du Marché des Valeurs et son Centre de Recherche attaché, lÂ’Observatoire du Droit Financier et du Marché des Valeurs, ont organisé le centre d’études « La protection des données pour les usagers dÂ’internet : une analyse à partir de la récente directive européenne ».

A cet événement a participé Pablo Sanz Bayon, docteur en Droit et professeur à l’Université Pontificale Comillas (Madrid – Espagne), qui a analysé l’économie et le marché numériques, domaines dans lesquels les données et l’information représentent le principal facteur de production.

Prenant en compte la nouvelle réalité numérique, le conférencier a expliqué le rôle du Droit par rapport au concept d’open data et des données personnelles, car il doit garantir aux consommateurs et aux usagers la même protection juridique existante dans un marché physique.

Pour cela, il a parlé de la Nouvelle Loi de Protection des Données et du Règlement Général de Protection des Données (RGPD), obligatoire depuis mai de l’année en cours dans l’Union Européenne et qui comprend des normes plus strictes en matière de protection des données, pour garantir aux personnes plus de contrôle sur leurs informations personnelles et aux entreprises l’égalité des conditions.

« Le RGDP est un fait marquant dans l’histoire de l’Union Européenne. Face aux expectatives d’un marché numérique unique, les données -notamment les personnelles- ont deux fois plus d’importance, non seulement en tant que droit fondamental mais aussi comme un nouveau facteur de production ou « nouvelles monnaies d’échange » de l’économie numérique », a souligné M. Sanz.

A cet événement a aussi participé Marco Peres, expert de l’Externado en la matière, qui a parlé de l’utilisation et de la mise en marche de services citoyens numériques en Colombie, à partir du décret 1413 de 2017 du gouvernement national.